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sábado, 2 de janeiro de 2010

Episódios da Raia. 99 - «Le respect est très joli»

«Le respect est très joli»







Pas loin de la Sorbonnne, trois personnes regardaient « Sartre- Par lui-même » dans un petit cinema.
Ma Prof., toute à faite kierkegaardienne, n’aimait le filme.
A la deuxième partie du film, elle s’en va avec ma coupine.
Je reste tout seul dans la salle.
Au jour suivant, moi et ma coupine, nous y sommes à assister au cours donné par ma Prof.
Dans la salle du cours il y avait un jeune homme arabe.
En parlant des plusieurs affairs, ma Prof a fait référence sur un sujet quiconque.
Le jeune homme arabe lui communique qui avait un exposition sur cela dans un coin de Paris. Alors, ma Prof. lui dit : j’y en suis interessée.
Après quelques jours, ma copine me dit :
N’est ce que le jeune homme arabe arrive auprès de notre prof, avec un bouquin de fleurs en lui disant :
« Je vous aime Madame » :.

Episódios da Raia. 100 - «L'amitié c'est l'amitié»

Episódios da Raia..100

«L'Amitié c'est l'amitié»
















Et voilà – Nous sommes trois étrangers faisant « stop » à la sortie de Paris.
Moi, comme d’habitude j‘était content d’une nouvelle aventure.
Mon copin Félix doutait de notre chance.
Carolyne jamais a fait du « stop»
Cette jeunne femme allait donner un concert au Consulat Cannadien à Lyon.
Ils sont passés deux minutes et une voiture si arrêt.
«Nous voulons aller jusqu’à Lyon»
Une voix nous répondre : « Entrez»
On bavard, de tout, pendant notre course.
Le Français presque tombe amoureux de notre coupine.
On arrivant à Lyon, nous cherchons une place pour dormir.
Il y avait deux lît pour trois personnes.
L’amitié c’est l’amitié.
Notre coupine cannadienne a donné un concert avec sucèss.
À la fin « monsieur le Français » arrive avec un bouquin de fleurs, et en disant :
«Je vous aime madame».
En rigolant, les deux vieux copains de route, nous sommes resté étonnés.
Mais le retour à Paris a été rassuré.

EUROPOLITIQUE: Recordando "Platero y Yo" ....Juan Ramón Jiménez

  Na minha tenra idade escutava os poemas de “ Platero y yo” , com uma avidez e candura própria da inocente e singela juventude, que era o ...