“A revolução tecnológica dá agora a um pequeno grupo de indivíduos como Julian Assangue a possibilidade de marcar a agenda política internacional e, pelo caminho, embaraçar um governo tão influente como o dos EUA” (Expresso, 18-12-2010, by Miguel Monjardino)
“En 2009, l'ambassade américaine à Tripoli essaye de comprendre le personnage Kadhafi. A l'occasion de la visite à New York de Mouammar Kadhafi pour assister à l'Assemblée générale des Nations unies, en septembre 2009, l'ambassadeur des Etats-Unis à Tripoli, Gene A. Cretz, se lance dans l'exercice très périlleux du portrait psychologique de l'imprévisible chef de la Jamahiriya libyenne. En étudiant avec minutie les requêtes qui ont été adressées à ses services par la partie libyenne pour préparer ce séjour new-yorkais, l'ambassadeur américain formule une série d'hypothèses, comme le montre un mémo secret en date du 29 juillet obtenu par WikiLeaks et examiné par Le Monde. »
Se o Jornal Expresso tiver a ousadia de fazer um cruzamento com esta notícia do “Le monde”, verificará que a “administração americana” aconselhou que Kadhafi ficasse em “Penha Longa”.
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